La Thailande, petite...Tu connais, ce Pays le 10eme le plus touristique de notre petite planète?
Ca commence forcement par Bangkok, appelée la venise asiatique. La ville est parcourue par de nombreux cours d'eau et canaux mais surtout, elle flotte sur une plateforme plus qu'humide. Le sol est liquide. On lit que la ville s'enfoce de 3 cm par an...
La ville est envahie par le cablage électrique chaotique parfait et aérien, le sol liquide s'accomode mal d'un cablage souterrain. Au moins, les choses sont claires...
Mais Bangkok, c'est d'abord:
12 millions d'habitants qui en font une méga-mégapole. Plus de 400 tours de 50 étages de moyenne, un Métro souterrain et un Métro aérien, des infrastructures autoroutières plus abondantes que les spagettis dans la bolo, des écrans de publicitaires de taille affolante, une très intense activité en rue égale jour et nuit et inversément. ...
C'est aussi le sentiment que tout bouge sans cesse... Une tour disparaît en quelques jours, une autre pousse en quelques semaines. On peut sentir ce que signifie une dynamique urbaine...On ressent, sans ambiguité aucune, que la lenteur décisionnelle, la résistance au changement, le conservatisme urbanistico-culturel et l'excès de procédural et réglementaire sont des notions inconnues...
La ville vit, elle change sous tes yeux ...
En 1947, Jim Thompson, un américain au service des services secrets OSS, qui s'est distingué dans le commerce de la soie en Thailande et épris de l'art thailandais, décide d'implanter une maison typiquement thai à Bangkok. Il fait venir des maisons traditionnelles en bois, vieilles de 200 ans qu'il reconstitue à proximité du centre de Bangkok, à ce moment encore dans la brouse. Il est dans les 1950' et 1960', l'hôte notable de la ville. Il invite d'ailleurs à sa table le couple Kennedy dans sa maison...
Aujourd'hui, cette maison est bien entourée de quelques palmiers mais surtout d'immeubles tres élevés et en plein centre de ce qu'est devenu Bangkok, l'extention de la ville a parfaitement encerclée cette enclave traditionnelle. Cela démontre comment la ville s'est étendue horizontalement et verticalement tellement rapidement.
Au-delà de l'organisme animé qu'elle est, cette ville fascine aussi par la place qu'elle réserve à la publicité. A bruxelles, l'espace est encombré par des muppies publicitaires de 2m2, il y a quelques dizaines de panneaux de 8m2 puis deux 20m2. A Bangkok, il y a quasi autant de faces de tours couvertes de publicité qu'il n'y a de tours. Les supports de pub sont ommi présents... Times square reproduit à l'infini, en longeur et en hauteur. Je dois concéder que j'ai été impressionné et pas même dégouté, c'est fascinant. Fatalement dans le métro, sur le métro, dans la station, mais aussi dans la station aérienne à 40m de hauteur. Puis une part significative de ces écrans géants (40m2) sont digitaux...Bon, sans doute qu'une exposition prolongée rend malade à la longue.
Bangkok ne dort pas. Animation en rue, alimentation en rue, commerce en rue, stockage en rue, ...
La rue est un espace public mais, à l'évidence, dans une acceptation nettement plus large que la nôtre...L'encadrement réglementaire que nous connaissons sous nos lattitudes, est bien un étouffeur d'animation publique. Les autorisantions semblent ne pas contraintes aucune activité. C'est pas plus mal... Cela m'interroge d'ailleurs par rapport à l'ordonnance Mobilité que l'on vient d'adopter à Bruxelles et dont je suis si épris. Finanlement, à quoi ça ryme et à quoi ça tient.
Tout le monde en parle, le tuktuk.
Roméo, 3 ans, mon fils que j'aime tous les jours plus, veut circuler tous les jours en tuktuk...Bof, je lui préfère, pas à Roméo, au Tuktuk, la moto-taxi pour circuler en ville...Le Tuktuk s'approche de la largeur de la voiture, il n'a finalement aucun avantage compartaif sur l'auto, il souffre autant du traficjump et, de plus, il offre une exposition directe et efficace à la pollution avec ses fenêtres ouvertes.
La moto-taxi est pilotée par ces types, dans leur chasubles rouges, qui attendent le client toute la journée à côté de leur engin à des postes précis, sorte de station:
Le mode de transport est parfaitement efficace et surtout, c'est parfaitement excitant, les types n'ont peur de rien avec leur mopet', pas même de débouller sur les trotoirs encombrés, emprunter la bande en sens inverse, flirter avec les bus oppresés par les autres voitures, ... et ça aussi avec une cliente en amazone sur le siège.
Autre mode de déplacement remarquable: le canal caca:
Des baches protègent les occupants pour éviter les gouttes du cacanal. Ces bateaux sont rudimentaires et avec le canal il rappelle que Bangkok est la Vensie d'orient... Ca vaut les 14 baht/voyage.
Pilote de Tuktuk en attente:
BACC, Bangkok art & culture center, émanation du Guggenheim, il en reprend la spirale...Le pilote est aussi en attente:
On retrouve à priori dans chaque habitation, non pas une télé, mais un temple minature:
C'est que Bouddah est parmis nous. Je ne connais toujours rien à la réligion bouddhiste mais il est frappant d'en comparer l'emblène avec celui de la catholique. Jésus, honnètement, ce type n'est définitivement pas comique, un type qui pend, soutenu par les poignets cloués, le sang ruisselant, les yeux révulsés, la peau pâle pour le moins, un vrai mort vivant. On ne perçoit pas réelement en quoi la vie qu'il propose soit attractive, articulée sur le principe de culpabilité et de souffrance. A côté, son pote Bouddha a toujours le sourire, son nom évoque la zenitude. Bouddha ne semble pas nous renvoyer une image de pénitence mais davantage de plénitude. Il est notamment représenté couché dans le Way Pho, un des nombreux temples du centre de la Capitale thailandaise. L'impressionnant sleeping bouddha:
Sur la page étroite de mon carnet de dessin, je n'ai fait que sa tête mais il s'étend allongé sur 15 mètres...Plutôt sympa, l'éffigie d'un dieu couché par rapport au type en mauvaise santé pendu par les poignets.
Cela dit pas d'affolement, le bouddhisme semble demeurer une religion, avec une série de rites et de contraintes. C'est aussi relativement culpabilisant. Bouddha prône tout de même le détachement par rapport aux pulsions et envies. Rien n'est parfait.
Il reste que globalement cette approche plus accueillante impacte l'ensemeble des comportements des Thais:
On salue Sawadee krap en arborant un sourire figé...en toute circonstance. Les thais saluent en joignant les mains, souriant et courbant le dos... C'est accueillant.
Dans le métro:
A Bangkok, nous sommes accueillis par les Velly.. Chez les Velly, je vous présente la fille, Luna, 8 ans. C'est ma fille à moi, Amaëlle, qui m'a présenté Luna, qui elle m'a permi de connaitre ses parents à elle, Devrig et Sari. Les deux filles étaient l'an dernier en 1ere primaire ensemble, à l'école 4 à Ixelles. Nous sommes devenus assez bien potes et prenions régulièrement l'apéro alors que les filles devenaient des meilleures amies. Je n'ai jamais compris exactement ce que couvrait la conception meilleure amie mais c'est visiblement très puissant. Lorsque les parents de Luna décident de quitter Bruxelles pour Bangkok, c'est la déchirure entre les filles... Pas grâve, ma chérie, nous allons aller à Bangkok prendre le goûter avec Luna. C'est ce que nous avons fait. Nous ne voyageons plus en avion depuis maintenant 9 ans, soit, nous partons. A noter que les Velly sont complètés par les excellents jumeaux Melvin et Evan...Bandits pour le plaisir de Roméo.
La famille Velly est ultra accueillante, pas hésiter à aller les visiter, les amis. Go... Ils crèchent au 26eme étage d'une tour sur Skuhmvit avec une piscine à ciel ouvert au 21eme. La vue depuis la piscine:
Nous quittons Bangkok après une semaine d'introspection pour l'île de Ko Samui...Mais non, déconne pas, pas l'île de Ko Samui pourtant tant recommandée par le Guide du routard peinard, maisbien l'île de Ko Chang. Littéralement, l'île des éléphants. Cette île est la destiantion des Thaïs et de quelques slaves mais pas d'européens, pas d'Allemands, ni de français...
On joint l'île par Bac
Cette fois, nous sommes en vacances, les pieds dans l'eau...Très routard gros lard, finalement...
Aussi les pieds dans l'eau de la piscine...
Le type noie un serpent dans l'eau de la piscine.
Visite sur l' île des éléphants
En effet, en cette saison d'août, en Asie, c'est l'hiver, le ciel est un peu plus chargé...ça fait fuir les touristes et dégage les plages...mais n'empêche pas la baignade....
Globalement, la saison des pluies est très viable...J'ai le souvenir de ces cours de géo où on nous laissait entendre que la Mouson était une période de plusieurs longs mois durant lesquels il pleuvait averse nuit et jour, le vent humide frappait jour et nuit et à l'époque j'étais impressioné par cette vision. Là, il m'est donné l'occasion de le vivre. Il pleut, il pleut une fois par jour...mais je ne le sens pas. Je suis imperméable et l'eau chaude laisse trainer à peine un soupçon de fraicheure tropicale...
plic ploc et ploch ploch ...
Pendant que les parents pensent prendre du bon temps et s'attachent à bouffer et boire, les enfants vivent la vraie vie. Roméo socialise avec ses potes, Melvin et Evan...
Carnet de dessins négligeament posé sur le coin de table...Le pied, reste à le remplir.
Devrig envoie bouler ses enfants et ils en redemandent... Pourquoi?
5 août, jour d'anniversaire mais aussi jour de croisière pour les gros. Nous louons un speed baot pour faire le tour des îles au sud de Ko Chang...
Ce boat m'excite, j'ai envie de sauter en pleine vitesse...Pour mon anniv, je peux faire un peu Belmodo, merde, non?
Finalement, je le ferai...à moyenne vitesse. C'est ça de pris, non?
Par ailleurs, ce tour est un tour de gros. Plein de gros débarquent et nous encerclent sur des bateaux accueillants...
Il est temps pour nous de nous casser et d'aller sur un morceau d'île encore vierge. La virginité est toujours recherchée par l'homme, le renvoyant immédiatement à son paradox fondamental. S'il piétienne le sol vierge, il s'en empare et de plus en plus vite, réduissant d'autant ce qui subsiste de vierge, se poussant lui-même alors à s'emparer encore d'autres terrains vierges, réduissant encore ce qui reste de vierge, et ainsi de suite... C'est pourtnat ce que nous ferrons... C'est effectivement ce que nous faisons en joignant le sud de Ko Chan. Le village de Than, le plus à l'est de l'île est nettement nettement moins touristique, voire quasi dessertique, loin des masses, nous vaguons:
J'aime ce dernier dessin...Tu peux voir sous le toit de la maison une cuisine, une machine à laver, un frigo, ... L'ensemble est quasiment à l'air libre. Seule la pièce du centre est murée, le reste de la maison est terrasse sur pilotis, soumi aux marées... Ce concept m'a toujours séduit. Un jour, je vivrai dans une maison où la cuisine et la salle de bain sont à l'extérieur. Petite rectification historique concernant le dessin, la machine à laver n'était pas présente dans la vraie vie, je l'ai ajouté.
Nous quittons Ko Chang pour le Nord du Pays. C'est sur le chemin du retour vers Bangkok que nous vivons une aventure inédite. Le bus dans lequel nous avons embarqués, s'arrête soudainement sur le bord de l'autoroute à 2 fois 4 bandes qui mène à Bangkok. Il ne se contente pas de s'arrêter, il entame une manoeuvre particulièrement étonnante, il se place en travers des deux premières bandes et attend. On se lève pour profiter au mieux du spectacle qui pourrait être le dernier...il est dingue! On ne peut accéder au conducteur, enfermé dans sa cabine. En même temps, je suis conscient de vivre un truc de dingue...Le type alors s'élance et tourne son bus face au trafic et commence à remonter l'autoroute en sens inverse...Un conducteur fantôme.Nous sommes dans un bus piloté par un conducteur fantôme...
Après quelques centaines de mètres, il emprunte la voie d'entrée sur l'autoroute qu'il utilise comme bretelle de sortie, croissant au passage deux voitures. Cette petite maoeuvre qui vaut sous nos latittudes, une accusation pour tentative d'homicide collectif (nous étions 40 dans le bus), semble courante localement. Les passagers lisent leur bouquin ou dorment...Tout est normal.
Soit...Direction le Nord: nous nous dirigeons vers Chiang Mai, la destination incontournable...
Mais non, une fois encore, nous renonçons à suivre les recommandations pourtant explicites du guide du gros lard, pour préférer les rives du Mékong, fleuve mythique qui personnellement m'attire. C'est dans le Nord mais moins dans le Nord que le Nord...
Mékong au centre du dessin, en bleu:
Il est d'une couleur indéterminée entre le rose et le prourpre, il charie également de l'indéterminé, il sort de son lit et embrasse la terrasse. Sur ses rives, on s'acharne... Toute ma vie, j'ai rêvé d'être un travailleur sur les bords du Mékong
L'art des éffigies...Ca à de la gueule tout de même...
Durant ce temps, pendant que vous êtes occupé à des futilités liées à la bouffe, le Mékong vit et poursuit sa sortie de lit.
La terrasse disparait...Ce n'est pas cette terrasse qui pose des problémes à ce fleuve mythique. Le Mékong est immense, il prend sa source en Chine et s'étend sur près de 5.000 kilomètres, traverse de nombreux pays et ici, il fait la frontière la plus somptueuse avec le Laos. Son eau est vivante, elle change de couleur et de consistance à sa guise, elle emporte ce qui lui convient, souvent des morceaux d'arbres mais tout est possible évidemment. On y retrouve aussi tous les superlatifs, notamment des types y ont sortis les plus gros poissons-chats du monde (du monde? euh à cheker mais sans doute): 280 kilos la pièce...Dégeulasse. il faut déjà voir un poisson-chat de 100 kilos, c'est bien dégeu...Le poisson-chat est au monde de l'eau douce, ce que le pigeon est au monde urbain, un vrai rat dégeu et parasite...
Nous nous sommes logés au Mut Mee à Nong Kai, le guest house de Julian à l'accent british aigu...
Nous y croisons Juillette qui deviendra grande amie de Roméo...
Vue quelconque de Nong Kai:
Nous faisons un tour à moto dans les terres...J'adore. Ces motos sont top.
Roméo à qui j'ai inculqué le principe de l'accélérateur...apprécie. A tel point que lorsque je m'arrête, sans couper le moteur pour prendre en photo cette carte postale vivante, il trouve utile, pendant que j'ai les deux mains occupées avec mon téléphone, de tester la poignée des gaz pour vérifier qu'elle fonctionne encore...VOOOOURM. Voila comment on se viande et qu'on teste les réflexes.
On voyage aussi avec d'autres modes:
Dans la vraie vie, Caro n'a jamais porté des chaussures aussi jaunes...
Les ouvriers sont des ouvières, principalement birmanes...Pas le même plan qu'en Europe.
J'ai apprécié la salle de bain en plein air, un peu comme la cuisine, plus haut. Sur le dessin ici, la vasque d'eau sert de chasse, le client empoigne le récipient flotant et en verse le contenu dans la cuvette. A noter aussi que dans les toilettes moins rustiques, il y a une petite douche sur le côté avec un embout adapté qui permet de se passer de papier toilette...Frais mais éfficace.
Ce petit séjour à Nong Kai fut frais et rafraichissant. Nous étions en cellule familialle, sans nos hôtes, cela créé fatalement un interessant rapprochement, utile à la cohésion. Même si c'était bien, le temps faisant son oeuvre comme partout et toujours, il nous faut finalement quitter non sans visiter l'atelier des femmes. Ces femmes sont mises au travail avec le soutien d'une structure associative, pour éviter d'être mises sur le trotoir. L'atelier produit des vêtements et textiles:
Accueil en gare de Nong Kai à la montée dans le train de nuit pour Bangkok:
Je vous l'ai dit, il n'y a pas de chomage en Thailande...
De Bangkok, nous repartrons immédiatement pour Kanchanaburi, dans l'Ouest, en direction de la Birmanie...
On a testé pour vous les minibus...Ca arrache, surtout dans le noir...
Cette fois, nous repartons avec Dev et les Velly. Ces derniers héritent d'une chambre de haut niveau à Kanchanabury...spécifiquement au niveau de l'odeur:
La pompe à merde est en action pour leur rendre le reste du séjour supportable.
Au-delà de ces désagréments, Kantchanabury a été le lieu d'une toute autre merde... C'est la ville où coule la rivière Kwai au-dessus de laquelle les japonais ont voulu bâtir un pont contre l'avis des aliés: le pont de la rivière Kwa.
Avant le film des années 60, il désignait un vrai pont, maillon d'une voie de chemin de fer que les japonais avaient entrepris de construire à très très grande vitesse, traversant la Thailande et la Birmanie pour soutenir l'effort de guerre sur les côtes birmanes, prises sous les feux des aliés en quête de libération des peuples asiatiques du joug des nippons, associés aux forces de l'axe.
Les japonais ont entamé l'invasion de leurs voisins asiatiques dés le début des années 1930. Lorsque le conflit mondial les intégre, la nécessité d'établir cette ligne ferroviaire de plusieurs centaines de kilomètres est pressante. L'armée impériale japonaise va utiliser pour construire cette ligne, les prisonniers asiatiques dont elle dispose par dizaines de milliers mais également les prisonniers aliés. Elle va leur imposer un rythme de travail de forçat, ne négligeant aucune cruauté ni violence à l'égard de ces méprisables travailleurs. A tel point que les camps dédiés à la construction de cette ligne n'ont rien mais rien à envier aux camps de concentration que l'on retrouve à la même époque en Allemagne et en Pologne. L'année 1943 va être particulièrement dramatique. En moins de 12 mois, ce sont 100.000 types qui vont horriblement périr sur le chantier de cette ligne d'enfer, trépassant à cause des conditions infernales que leur imposent leurs boureaux nippons: cadences de travail insoutenables, insufissances alimentaires, conditions sanitaires infectes, absence totale de soins, exposition renforcée aux risques de malaria et toutes maladies de promiscuité, ...L'enfer.
En outre, cette année, les aliés veulent briser l'élan japonais et visent à détruire les points faibles de la lignes: les ponts. Le pont qui permet de franchir la rivière Kwai sera détruit 3 fois en quelques mois, et remonté deux fois sous les coups de l'armée japonaise. La troisème fois étant la bonne.
Aujourd'hui, le pont est une attraction touristique et a fait l'objet dans les années 1960 d'une reconstruction grâce à des fonds mis à disposition par des banques ... japonaises.
La pause dans les camps des chantiers autour du pont en 1943...
Les organisateurs en 1943...
On est pas des chiens...
De retour à Bangkok, nous flanons au Lumpini Park... Véritable central park au coeur de la ville. Les travailleurs y sont aussi nombreux que féminins...encore
Au Lumpini park, on pratique les arts martiaux, en parfaite symétrie supposée...
L'une des deux va ensuite manipuler un sabre hautement tranchant.
Nous quittons la Capitale et le pays en prenant de la hauteur, un dernier verre sur les toits des immeubles offrant des lounges sofistiqués avec vue imprenable...
Depuis 2003, cela fait donc des années, Caro et moi ne prenons plus l'avion. Nous ne regrettons pas cet écart en 2013.
bonne chance à tous